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Afin d'améliorer un échange que nous voulons plus interractif et direct, nous vous donnons désormais rendez-vous sur notre page FACEBOOK  "Arles en Capitale", pour suivre l'actualité municipale et construire ensemble un projet alternatif pour notre ville !
Pour Ensemble, Changer l'Avenir d'ARLES !
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10 juin 2009 3 10 /06 /juin /2009 12:44
S'il est un des enseignements que l'on doit tirer du scrutin européen, c'est bien la nécessité pour les élus de mettre davantage au coeur de leur action la problématique environnementale et la protection de la santé publique.

L'occasion a justement été donnée aux différents élus du Pays d'ARLES, et en particulier au Maire d'ARLES et aux présidents des groupes siègeant au Conseil Municipal, de se positionner en matière de culture OGM  : pour ou contre la présence d'OGM dans nos champs et nos assiettes !

C'est un collectif d'associations, dont ATTAC - Pays d'ARLES, qui est à l'origine de cette question en envoyant aux différents élus une lettre ouverte leur demandant instamment de se saisir et de se positionner clairement en votant des délibérations visant à interdire aussi bien la culture d'OGM que leur utilisation dans la restauration collective, notamment scolaire.
 
Notre Groupe a répondu au courrier d'ATTAC en s'associant pleinement à la démarche.
 
Déjà, de nombreuses communes du Pays d'ARLES ( dont FONTVIEILLE )  ont voté des délibérations et ont clairement formulé le voeu de ne pas cautionner la présence d'OGM sur leur territoire.
 
En effet, en l'état des incertitudes scientifiques, après le Grenelle de l'Environnement et la Loi du 25 juin 2008 relative à la réglementation en matière d'OGM, un positionnement des élus locaux, même de principe, et notamment sur la présence d'OGM dans les menus des cantines scolaires, apparait souhaitable, au nom du principe de précaution.
 
Parce que le débat reste ouvert, la difficulté entière et considérant notre incapacité actuelle à mesurer précisément la dangerosité de ces organismes pour le corps humain, il est de la responsabilité des élus de ne pas ignorer le problème.

Si bien évidemment la recherche doit continuer et les expérimentations scientifiques se développer, nous sommes partisans, de façon définie dans le temps et en fonction de l'avancée de nos connaissances, d'interdire l'utilisation d'OGM dans la restauration collective.

Mieux, nous continuons de demander au Maire d'accélérer l'introduction massive des produits bio dans les assiettes de nos enfants.

Et même si juridiquement les élus, en matière d'interdiction d'OGM dans les cultures, ne peuvent que formuler des voeux pieux, ils peuvent par contre agir efficacement, parce que de leur compétence, en matière de restauration collective et scolaire .

Sollicité par la presse, le Maire a semblé valider l'idée de voter pour interdire les OGM dans les assiettes des cantines...

Dont acte.

Y a plus qu'à !!
 
Article La Provence 10/06/09 :


                  



Article La Marseillaise 04/06/09 :


 





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7 avril 2009 2 07 /04 /avril /2009 22:35
A l'occasion d'une délibération relative à une acquisition foncière en Camargue lors du dernier Conseil Municipal, Jean Marie SCIFO, nouveau Conseiller Municipal de notre Groupe et Président du Groupement Cynégétique Arlésien, a saisi la balle au bond pour demander l'intervention des pouvoirs publics, et particulièrement celle du Maire d'ARLES, afin que les chasseurs arlésiens puissent pratiquer leur passion sur l'ensemble du territoire de leur commune

Car tel n'est pas le cas aujourd'hui...


En effet, l'accès aux chasseurs de terrains appartenant à des collectivités ou établissements publics est curieusement bloqué....


Petit retour en arrière...

Juillet 2008 :  La Compagnie des Salins du Midi souhaite vendre près de 2300 hectares au Conservatoire du Littoral (Les propriétés mises à la vente sont : La Bélugue, le Pèbre, Paulet, Briscon, Pioussé et le vieux Rhône ). Le Conseil Régional va contribuer à hauteur de 4 millions d'Euros, sur un total de 23. 


Suite à cette annonce, le Groupe Cynégétique Arlésien, seule société de chasse communale de la ville d'Arles ( c'est à dire qui à obligation de par ses statuts, d'accueillir tous les chasseurs qui justifient de leurs résidences sur l'ensemble de la commune ) interpelle tour à tour le Maire d'Arles, le Président du Conservatoire du Littoral et  le Président du Conseil Régional, afin de pouvoir chasser sur ces terrains, acquis grâce à l'argent public, et n'appartenant plus à des personnes ou sociétés privées.


Surtout que depuis, la vente s'est réalisée, en prévoyant même noir sur blanc une continuité de la possibilité de chasser pour les salariés de la Compagnie des Salins et leurs ayant droits.


Alors pourquoi pas pour l'ensemble des chasseurs arlésiens ?


C'est le message et la légitime revendication qui ont été portés en Conseil Municipal à l'adresse du Maire.


Pour l'heure, pas de réponse....

 



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13 février 2009 5 13 /02 /février /2009 14:07


Le Maire l'avait pourtant martelé lors de la dernière campagne électorale et en avait fait une de ses "7 ambitions pour le futur " : "Respecter et valoriser notre environnement" !

Parce que " l'environnement est de la responsabilité de tous" et concerne chacun, le Maire, patron de la plus grande entreprise de la Ville,  déclarait vouloir pour les services communaux " mettre en place une gestion éco-responsable " !

L'idée est belle, l'ambition noble mais les faits, eux, sont beaucoup moins reluisants et les résultats, à des années lumières des engagements .... 

Après vous avoir fait partager l'"état" de la déchetterie des Ségonnaux, découvrez donc le sort réservé à notre Centre Technique Municipal, véritable centre névralgique des services techniques de la Ville, installé en zone sud, et qui abrite notamment les services de ramassage des ordures ménagères : 
 

Constatez non seulement les conditions de travail des employés de la Ville mais aussi l'idée que se fait la municipalité du respect de l'environnement....


....avec un stock de machines en tous genres qui trônent au milieu de la cour....




.... un tas de pneus....





....des bennes ouvertes, pleines de tôles d'amiante qui pourrissent à l'air libre ....

 


A proximité,  voici l'aire de lavage pour les bennes qui effectuent le ramassage des ordures ménagères... respectueuse de l'environnement et des employés municipaux....

 



avec par exemple un "contacteur électrique" extérieur parfaitement aux normes et sécurisé ...tout comme les toilettes et le local technique....

   

 

Et oui, quand on gratte le vernis, voici ce qui apparaît.... une véritable décharge à ciel ouvert !!!

Le respect de l'environnement ???? Ouh là, pas de çà chez nous malheureux !!!

 


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9 février 2009 1 09 /02 /février /2009 22:41



Dans des tracts distribués à l'occasion des voeux du Maire ou à présent dans une lettre ouverte, le collectif "Journarles " dénonce la politique de la municipalité en matière d'utilisation d'herbicides chimiques tel le Roundup pour désherber les rues de la commune.

Pourtant la municipalité déclare y avoir renoncé....

Lisez plutôt et consulter le site du collectif !! 




Cliquez sur les images ci-dessous


                                        




Le site de Journarles 
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17 janvier 2009 6 17 /01 /janvier /2009 15:49
















Lors de la séance du Conseil Municipal du 19 novembre dernier, et à l'occasion de l'examen du rapport sur le Service Public d'Elimination des Déchets, nous avions attiré l'attention de la Municipalité sur l'état déplorable de la principale déchetterie de la Ville, celle dite des "Ségonnaux" : des accès impraticables, des conditions d'utilisation manifestement non conformes (quais de déchargements défoncés, récupération des huiles de vidange plus que douteuse et limite...), des conditions de travail et de sécurité pour les agents municipaux plus que mauvaises. 

Le Maire nous avait alors répondu que tout allait bien, que " les agents municipaux étaient en situation de travail normal aujourd'hui", et qu'ailleurs parfois la situation était "encore plus ennuyeuse". Il ajoutait ensuite que la Municipalité  "n'avait pas fini d'équiper l'ensemble des lieux" et, comme à l'accoutumée, qu'il fallait "travailler sur la conception même de l'outil"...

En bref, la situation pour le Maire et son équipe était tout à fait normale....

Cependant, et comme par le plus grand des hasards, quelques semaines après notre intervention, la déchetterie des Ségonnaux avait le plaisir et l'honneur de voir débarquer en trombe le Maire, son Adjoint, les Directeurs Généraux des Services et des Services Techniques pour faire un état des lieux....et sans doute vérifier nos dires....

Suite à cette "inspection ", le Maire a pris des mesures, mais malheureusement comme d'habitude, en "saupoudrant" et en "bricolant" de ci, de là : quelques pelles de "tout-venant" pour tenter vainement de boucher les trous ( que dis-je des lacs !! ), des inscriptions à la va-vite à la bombe de peinture, un petit coup de balai,....

Un emplâtre sur une jambe de bois....

Nous y sommes retournés pour constater le changement.. et vous rendre compte... 

Jugez plutot !! Affligeant !!

des abords il est vrai impeccables...

 





 

un accès facile....surtout avec une remorque...



un récupérateur pour les huiles au top qu'on doit partout nous envier....










....des quais de débarquement aux normes......avec des indications "faites maison" à la bombe de peinture....( rajoutées à la va-vite il y a quelques semaines !! )


 




 

un abris pour les agents tout à fait correct...



Et oui, voici LA déchetterie de la 3ème Ville du Département.... qui semble tout à fait satisfaire notre Maire....

Pas mal, non ??


 
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3 décembre 2008 3 03 /12 /décembre /2008 23:10

« Redevance incitative », « part variable », « principe du pollueur-payeur »,….autant d’expression pour désigner une méthode radicalement novatrice et dans l’air du temps en matière de paiement pour l’enlèvement des ordures ménagères: payer pour l’enlèvement de ses ordures en fonction uniquement de sa production !

La Municipalité, par la voix de son Adjoint Délégué à la Propreté, semble vouloir lancer le débat…. Du bout les lèvres…. «  c’est seulement une réflexion ! » avance-t-il lors d’un entretien paru ce samedi 29 novembre dans la Provence.

Sauf qu’à la suite du Grenelle de l’Environnement, ce principe est désormais une règle de droit que les collectivités ont 10 ans pour mettre en œuvre !

C’est en effet, et à l’unanimité, que l’Assemblée Nationale a inscrit dans la Loi ce principe dans son article 41 alinéa 8, reprenant l'amendement du député communiste André Chassaigne: « La redevance d'enlèvement des ordures ménagère et la taxe d'enlèvement des ordures ménagères devront intégrer, dans un délai de dix ans, une part variable pouvant prendre en compte le poids des déchets et leur nature. »

C’est l’application du fameux principe dit du « pollueur-payeur » !!

Le Législateur a souhaité que l'objectif de réduction des déchets ne reste pas un voeu pieux et se traduise concrètement par une réforme de la Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères (TEOM ) et de la Redevance sur l’Enlèvement des Ordures Ménagères ( REOM ). L'obligation faite aux collectivités de mettre en place cette fiscalité incitative pourrait se mettre en place progressivement en l'espace de cinq ans.

Certes, d’emblée l’ombre de certains écueils apparaît : incivilités, risque de décharges sauvages, difficultés à mettre en œuvre, coût élevé, …

Cette nouvelle pratique est une révolution :  elle doit s’accompagner, se réfléchir et s’anticiper…

Compte tenu des enjeux, et considérant le temps qu’il faudra pour mettre en oeuvre cette solution, les élus de la Majorité Municipale doivent dès à présent s’engager résolument et de façon officielle dans cette voie.

Ils pourraient également, dans l’attente, et avant de se lancer sur des critères liés au poids et au volume, faire changer les choses et « préparer le terrain » : passer de la Taxe d’Enlèvement à la Redevance d’Enlèvement des Ordures Ménagères !

Lançons, nous aussi, le débat !

Taxe, redevance ? effet de langage ou vraies différences ?

En France, les collectivités ont à leur disposition 3 méthodes pour financer le service d'enlèvement et de traitement des ordures ménagères :

-       soit en le finançant totalement par le budget général  ( c'est à dire par le produit des impôts locaux )

-       soit en décidant d’une taxe spécifique, la Taxe d'Enlèvement des Ordures Ménagères (TEOM) : c'est une taxe assise sur les mêmes bases que la taxe foncière sur les propriétés bâties. Elle n'a donc aucun rapport avec le service rendu (composition du foyer) mais elle est calculée en fonction de la valeur locative de la résidence. ( solution actuelle à Arles )

-       soit en décidant d’une Redevance d'enlèvement des Ordures Ménagères (REOM) :elle est fixée pour chaque usager en tenant compte du service rendu. La collectivité responsable du service en fixe le tarif, les modalités de facturation et de recouvrement.

Cette dernière méthode apparaît comme plus équitable, juste mais aussi solidaire. Parce que composée d’une part fixe et d’une part variable, correspondant à la situation de l’usager, elle serait en adéquation avec le véritable service rendu et garantirait, en étant forfaitaire, le principe de solidarité de la TEOM.

En excluant au départ le volume ou le poids des déchets, on pourrait dès lors imaginer que les critères retenus soient par exemple le type et le nombre de collecte, en agglomération « porte à porte » ou en campagne, ainsi que le nombre de personnes fiscalement à charge ou simplement présentes ( avec des plafonnement pour ne pas pénaliser les familles nombreuses ).

Voilà qui serait déjà une vraie avancée…et qui ouvrirait progressivement la voie à l’introduction des paramètres volume et poids dans le mode calcul de la redevance !

Cela suppose certes plus d’effort car plus d’organisation et plus de contraintes….et ce n’est pas un hasard si seulement 10 % des communes l’appliquent aujourd’hui.

Il serait cependant un signe fort de la Municipalité et un engagement politique d’envergure…

 

 

 

 

 

 

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